Les chroniques

Sur le chemin pour aller à la plage, j'admirais le paysage. Hier soir, je n'avais pas trop eu le temps pour ne serait ce que de jeter un œil. C'est un beau quartier pavillonnaire dans lequel vit Sandrine, pleins de belles villas cachées derrière des portes sécurisés, dernier cri. Les villas défilaient, on passa par un petit parc pour enfants, je n'eu pas trop le temps de voir tout ce qu'il y avait. Mais, je sais qu'il y a quatre balançoire, deux grand toboggan, un manège avec des chevaux de bois. Pour le reste je n'ai pas trop eu le temps, j'était contente de voir qu'il y a des balançoires. Oui, j'aime beaucoup les balançoires, surtout que là, elles avaient l'air d'être très solide. Peut être que j'y ferai un tour si tout le monde est d'accord. Pourquoi pas avec Sam si j'ai de la chance, il acceptera, non ? Puis, je pense que je n'ai pas besoin de chance en voyant combien ils sont tous gentils avec m...

Après une douce et bonne nuit de sommeil, quelqu'un vint me réveiller.   - Asahi ? Debout . Je me frottai les yeux, les ouvris et commençai à m'étirer tout en regardant qui était venue me réveiller. Ça n'a pas l'air d'être Mélo, c'est bizarre qui d'autre peut entrer dans la chambre comme ça.   - Asahi, tu es réveillée ? Je dois aller réveillée Sam.  - Mme Santos, euh... oui, je suis réveillée.  - D'accord, je vais réveillée Sam alors. Je me levai donc pendant qu'elle allait réveiller Sam, c'est vrai qu'hier ils s’en sont passés des choses. J'ai découvert que mes beaux parents m'avaient abandonné à l'orphelinat. Puis j'ai découvert que j'allais partir en vacances avec Sam et sa mère. Nous sommes d'ailleurs chez sa tante qui habite au bord de la plage. Elle a l'air aussi gentille que sa sœur, la mère de Sam. Bon et bien, je vais filer me laver et rejoindre les autres. Quelqu...

Sam entra dans le bureau mais, moi, je n'arrivais plus à bouger. C'était impossible, tout mon corps voulait fuir et s'échapper le plus loin possible. Pourquoi ? Ai-je fait quelque chose de mal ? Mon corps se retourna et couru loin, le plus loin possible. Je me rendis compte que j'étais arrivée sur la colline qui est devant le bureau de la directrice. J'essayai de ne pas être visible ou même trouvable. Je me mis le plus haut possible sur la colline et y restai. Je fondis en larmes, je ne veux pas retourner à mon ancienne vie. Je ne veux pas retourner avec eux et redevoir vivre seule. C'est trop triste de rester seule et de tout le temps déménager. Certes, je découvre mieux mon pays et un peu le monde aussi. Mais, j'en es assez de pas pouvoir avoir une vie stable et calme. J'aimerais avoir un chez moi, où je puisse rentrer et être contente de rentrer. Mais ce ne sera pas possible, tant que je n'aurais pas les moyens d...

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